Marat Jean-Paul
1743 - 1793
Il est le médecin des gardes du corps du roi. Marat est un homme aigri et solitaire, il rédige seul son journal « L’Ami du Peuple » où ses articles violents ont notamment encouragé les massacres de septembre. Il s’emploie à défendre les sans-culottes au sein du club des Cordeliers. Une fois la république proclamée, il joue un rôle important dans la chute des girondins. Mais il n’aura pas le temps de faire usage de sa popularité, il est assassiné dans sa baignoire par Charlotte Corday. Très laid, Marat avait une maladie de la peau, certains comme David disent la lèpre.