Ney Michel
1769 - 1815
Surnommé « Le Brave des Braves ». Proche de Bonaparte, Ney se couvre de gloire à Elchingen. Il est à Iéna, Eylau et Friedland. Puis il va en Espagne où il est en désaccord avec Soult notamment, puis il se fait remarquer à l’arrière garde de la Moskova où il est héroïque. Il est de toutes les batailles lors de l’invasion de France. Il rejoint Louis XVIII, en lui promettant de ramener Napoléon dans une cage, mais devant l’enthousiasme de ses soldats, il lui tombe dans les bras. A Waterloo, il multiplie les fautes de jugements (tout comme Grouchy), il charge stupidement lorsque la défaite est inéluctable. Condamné à mort, il sera fusillé, le jour de l’exécution il refuse le bandeau et déclare “Soldats, droit au cœur !”.